« Qu’est-ce que ça signifie d’avoir été sauvé par un homme accusé de génocide, au cœur même d’un chaos ? Alors que vous étiez peut-être la cible de votre «sauveur» ? C’est la question qui est posée depuis le début cette semaine lors du premier procès devant la cour d’assises de Paris, concernant un ex-officier rwandais accusé d’avoir participé au génocide de la minorité tutsie de son pays d’origine, en 1994. L’homme a peut-être orchestré des massacres, il a aussi sauvé des vies.»
Source : Libération